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C'est parti !

Martin Belporo

Cameroun Cégep Beauce-Appalaches
Ici, la note finale est une somme de réussite au cours de la session.

Trois ans après son arrivée au Cégep, Martin est aujourd’hui finissant! Entrevue avec un beauceron adoptif:

Aspect préféré du Cégep
J’aime beaucoup la vie étudiante du Cégep. Il y a de nombreux spectacles et activités sportives. Je m’implique comme membre du comité technique. Je travaille en coulisses lors des spectacles comme les Mercredis-Étudiants et la finale locale de Cégeps en spectacle. Je contribue à ma façon aux succès des étudiants-artistes qui montent sur scène. Je suis également membre de l’équipe de soccer mixte de Division 3 des Condors depuis trois ans.

Quelle a été ton expérience la plus mémorable au cégep?
L’équipe de soccer mixte des Condors du Cégep Beauce-Appalaches a atteint la finale de la Conférence Nord-Est à deux reprises et la demi-finale une fois lors des trois années dont j’en ai fait partie. Cette expérience sportive m’a permis de développer de solides amitiés avec mes coéquipiers.

Quel est ton conseil pour un étudiant international qui vient d’arriver au Québec?
Il faut être constant dans le travail scolaire et ne pas prendre de retard. Le travail de toute la session est évalué. Ici, la note finale est une somme de réussite au cours de la session. Nous ne sommes pas seulement évalués sur un examen final. Je dirais également aux étudiants internationaux d’essayer de s’impliquer le plus possible dans la vie étudiante.

Quelle est la plus grosse différence entre ton pays natal et le Québec?
C’est certain que quelqu’un qui arrive du Cameroun vous dira que la météo est l’une des plus grosses différences. Mais lorsqu’on pousse plus loin, je dirais que c’est la façon d’enseigner. Il y a moins de distance entre les enseignants et les étudiants ici que chez nous. Les échanges sont plus faciles ici. On sent moins l’écart entre le maître et l’élève.

As-tu eu « de la misère » avec des expressions québécoises ?
J’avoue qu’on a dû m’expliquer ce que voulait dire le mot pantoute… Et j’ai eu des difficultés avec l’utilisation du « là » comme lorsque les gens disaient « on fait ça là » au lieu de « on fait ça maintenant ».

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